Dans le détail des actions menées dans le cadre du plan France relance, à commencer par le volet écologique, 234 000 € ont été consacrés à la rénovation énergétique et thermique pour l’école de Saint-Siffret, le temple et la mairie de Bouquet ; l’installation de panneaux photovoltaïques au château de Collorgues et le foyer socio-culturel de Garrigues-Sainte-Eulalie. Le Sictomu s’est vu octroyer une subvention de 20 000 € pour la valorisation des biodéchets.En matière de cohésion des territoires et dans le cadre de Dotation de soutien à l’investissement local, 311 000 € ont été accordés pour la rénovation de l’école et de ses abords à Moussac, 219 000 € pour l’aménagement d’un parking et le développement de transports innovants à la Ville d’Uzès et 192 000 € pour la traversée de Saint-Hippolyte-de-Montaigu en déplacements doux. La Communauté de communes du Pays d’Uzès a pu agrémenter de 71 000 € son Projet alimentaire territorial.
45 000 € pour Meduz
Pour doper la compétitivité, le plan France relance a notamment bénéficié à la brasserie Meduz à hauteur de 45 000 € pour l’achat d’un robot visant à effectuer des tâches de manutention notamment. « Cela permettra de faciliter les tâches de nos employés et donc de gagner en compétitivité », se réjouit Christophe Fresquet, co-fondateur de l'établissement.Aussi, les projets de jardins familiaux qui ont fleuri sur le territoire ont occasionné des subventions, en plus du projet alimentaire, pour favoriser l’accès à une alimentation plus saine : 140 000 € pour les jardins familiaux entre Mayac et le Mas-de-Mèze d’Uzès ; 14 000 € pour les jardins partagés de Vallabrix.
Ces chiffres ont été donnés à l’occasion de la projection du logo de France relance sur la façade de l’Évêché, lundi 27 septembre, en présence du sous-préfet d’Alès, Jean Rampon.
« Nous avons choisi de projeter le logo en faisant appel à une entreprise locale (Sgroupe à Méjannes-les-Alès). C’est un support éphémère, sans empreinte carbone pour développer une communication dans l’esprit du dispositif », présente le sous-préfet.
Des subventions qui pourraient venir remplir les caisses des communes et de l’intercommunalité pour de futurs projets. « Nous sommes vigilants en matière de dépenses mais il y aura encore des projets structurants pour le territoire avec notamment la prochaine piscine intercommunale », avance Fabrice Verdier, président de la CCPU.